Plus au sud tr? vite le Midi, l'accent "putaing-cong" qui tartine sa vulgaritsur tout ce qu'il touche. La sueur. Les shorts. A sa mort, tout sera recouvert d'am?agements touristiques, mais pour les vingts ann?s qui viennent, il trouvera bien toujours quelques lieues carr?s.
« Je romps, parce que j'en ai marre des matins de visite la morgue, oj'erre, seul lev dans l'appartement. De cette vie sans autre avenir qu'une longue et inexorable d?radation des facultés corporelles, de la santé. Quitte à crever petit feu, autant le faire seul, sans observer chez l'autre les signes de sa propre irrémédiable décrépitude, et en bougeant. Sans cesse changer de lieu. Je sais bien que la mort m'attend, là-bas, à Samarcande. Mais je préfère crever en mouvement, qu'au chevet d'une femme perpétuellement éternellement - malade. »?
Et entre chaque chapitre, un paragraphe de la lettre de rupture (N.D.L.A. : la chose a tourné autrement).
LE GRAND OEUVRE 4
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Du désir de voyager en train pour être bien bloqué
La quadrature du cercle d'Anne Jakevski atelierdepeinture.blogs.sudouest.fr
En voiture ; c'est tricher ; tous ceux pour qui l'avion même est devenu banal. Ils ne se rendent plus compte qu'ils voyagent. Aux Antilles. A Ceylan. Au Bhoutan. Le vrai voyage au ras du sol. En fait à pied. ? J'ai choisi le train ?. Comme ils disent. Les pieds gel?, la crasse et l'effort physique, surtout l'effort physique, que je m?rises de toute mon ?e pas question. Pas la volontnon plus du Grand d?aysement - ?Je ne sais pas, moi ! ? (votre interlocuteur ne ? sait ? jamais) ; si tu t'exiles, fais les choses en grand ! Les Andes, par exemple ! ?) - je ne vois pas comment je pourrais m'exalter, d?ouvrir en moi des horizons, des vertiges nouveaux et tout ce qui s'en suit, en chiant ma tourista avec 39 de fièvre 4000 m. d'altitude.
Je me repose. D'avoir mang Je suis venu ici me reposer. Lire. Ecrire la main, cul nu sur la paille de chaise, la main entre cul et paille, les fesses gaufr?s - 22 pile de l'heure je stoppe, c'est mon rite, mon rythme. A l' heure ovient la chambri?e (la ling?e) du matin ?ousseter miettes, couvre-pied, derri?e, je sors. Je cherche le cimeti?e pied. La n?ropole est la premi?e chose, la plus vivante, que je cherche Limoges, comme ailleurs, toujours : dormir, lire, mourir ?re mort, le cimeti?e - avec l'?lise - ce qui d?ermine avant tout et d?init la Ville : "Ceux qui m'aiment prendront le train" - "le plus grand cimeti?e d'Europe" : c'est inexact - en Limousin les d??, les disparitions, surpassent nettement les naissances.